Temps réel et basculement virtuel : le récit de l’effondrement comme catalyseur de l’action

15 min. de lecture

  • Jérémy Bernard

    Jérémy Bernard

  • Guillaume Desjardins

    Guillaume Desjardins

  • Julia Tasse

    Julia Tasse

    Directrice de recherche à l’IRIS, responsable du Programme Climat, énergie et sécurité

  • Marine de Guglielmo Weber

    Marine de Guglielmo Weber

    Ancien.ne chercheur.se à l'IRIS

  • Marc Verzeroli

    Marc Verzeroli

    Responsable d’édition à l’IRIS, Rédacteur en chef de La Revue internationale et stratégique

› GUILLAUME DESJARDINS – Nous avons d’abord eu la chance de réaliser beaucoup d’entretiens. Nous avions ainsi pu recevoir Pablo Servigne, Jacques Blamont, Philippe Bihouix et d’autres chercheurs, dont les visions de l’avenir étaient noires et qui nous montraient que l’on accélérait dans la mauvaise direction. Le thème de l’effondrement était donc déjà là, sans qu’il ne soit forcément mentionné comme tel. › JÉRÉMY BERNARD – À la différence d’aujourd’hui, personne n’utilisait le terme « effondrement » en 2017, qui a plutôt émergé avec Pablo Servigne en 2018. On pourrait d’ailleurs davantage parler d’un « délitement ». › GUILLAUME DESJARDINS – Nous nous étions aussi lancés dans la fiction en participant à des défis tels que le concours « 48 Hour Film Project ». Nous avons ainsi réalisé énormément de courts-métrages, que nous mettions ensuite sur YouTube et qui ont comme

Cet article est réservé aux abonné·e·s

Abonnez-vous à la RIS

Porem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit. Etiam eu turpis molestie, dictum est a, mattis tellus. Sed dignissim, metus nec fringilla dorem ipsum dolor sit amet, consectetur adipiscing elit.

CAIRN.info