La féminisation du football aura connu des évolutions considérables à la fin de la décennie 2010. Grâce à la publication en 2018 par la Fédération internationale de football association (FIFA) d’une première stratégie globale, à l’attribution du premier Ballon d’or féminin à la Norvégienne Ada Hegerberg, ainsi qu’au succès sportif et populaire de la 8e édition de la Coupe du monde féminine de football, organisée en France en 2019, la pratique féminine a été au cœur d’une attention quasiment inédite. Enjeu de développement pour la FIFA, levier d’émancipation pour les femmes mis en avant par de nombreuses organisations internationales, notamment les Nations unies à travers leur cinquième objectif de développement durable (ODD), le « football féminin » trouve peu à peu sa place à l’agenda international. Cette notoriété nouvelle a fait émerger nombre de questions, particulièrement sur l’existence – ou non – d’un modèle propre a
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