Du schisme de réalité au schisme de la décarbonation : le système international est-il capable d’atténuer les risques climatiques globaux ?

26 min. de lecture

  • Amy Dahan

    Amy Dahan

  • Marine de Guglielmo Weber

    Marine de Guglielmo Weber

    Ancien.ne chercheur.se à l'IRIS

  • Marc Verzeroli

    Marc Verzeroli

    Responsable d’édition à l’IRIS, Rédacteur en chef de La Revue internationale et stratégique

› AMY DAHAN – La prise de conscience plus aiguë est venue, surtout en Europe et aux États-Unis, mais aussi un peu partout ailleurs, parce que se sont produits des événements climatiques extrêmes extraordinaires et très destructeurs, qui sont allés beaucoup plus loin que ce qui était imaginé, et même énoncé par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC). L’ampleur des feux – peut-être pas des inondations –, par exemple, va plus vite que ce que l’on pensait, ce que confirment les scientifiques. Tout cela a forcément produit un impact sur la conscience des sociétés civiles et la façon dont les choses sont perçues, d’autant plus après la crise Covid, qui a eu un temps un effet masquant, même si des événements extrêmes ont eu lieu durant cette période. Cela traduit la spécificité de la façon dont la question climatique occupe la scène médiatique et politique quotidienne : même quand la cons

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