Conférence-débat organisée à l’occasion de la parution de l’ouvrage : « Qui veut la mort de l’ONU ? » (Eyrolles, 2018) de Romuald Sciora et Anne-Cécile Robert. Autour de Jean-Marc de la Sablière, ancien conseiller diplomatique du Président Chirac et ancien représentant permanent de la France au Conseil de sécurité des Nations unies, Anne-Cécile Robertjournaliste, spécialiste des institutions européennes, de l’ONU et de l’Afrique, et Romuald Sciora, écrivain, essayiste et documentariste, spécialiste de l’ONU et des relations internationales. Animée par Pascal Boniface, directeur de l’IRIS.

Programme

A l’occasion de la parution de l’ouvrage de Romuald Sciora et Anne-Cécile Robert « Qui veut la mort de l’ONU ? Du Rwanda à la Syrie, histoire d’un sabotage » (Eyrolles, 2018), l’IRIS a le plaisir de vous inviter à la conférence-débat :

 

Autour de
Jean-Marc DE LA SABLIÉRE, ancien conseiller diplomatique du Président Chirac et ancien représentant permanent de la France au Conseil de sécurité des Nations unies
Anne-Cécile ROBERT, journaliste, spécialiste des institutions européennes, de l’ONU et de l’Afrique
Romuald SCIORA, écrivain, essayiste et documentariste, spécialiste de l’ONU et des relations internationales

 

Animée par
Pascal BONIFACE, directeur de l’IRIS

 

 
L’ONU, coquille vide ou agence humanitaire ? Elle demeure néanmoins la seule instance internationale légitime que nous ayons pour représenter un ordre mondial multilatéral et le travail humanitaire de ses agences est considérable et vital pour de nombreuses nations à travers le monde. Du Rwanda à la Syrie, en passant par le Kosovo, sa puissance se révèle affaiblie et une réforme s’impose. Qui est responsable de cet échec ? Les États-Unis bien sûr, mais aussi en partie la France et les autres grandes puissances membres permanents du Conseil de sécurité, qui ont préféré préserver leurs intérêts au sein des directoires du G7 ou du G20. C’est l’histoire de cette utopie brisée que les auteurs se proposent d’illustrer dans un essai bâti sur près de quinze ans de recherches et d’enquêtes avec un accès unique aux instances onusiennes.