Conférence-débat organisée en partenariat avec la Fondation médecins du monde.

Restrictions des libertés fondamentales, remise en cause ou pénalisation de l’IVG, démantèlement des protections judiciaires manque d’accès à la santé sexuelle et reproductive… Alors que la France est le premier pays à inscrire l’avortement dans sa constitution, les droits des femmes et des filles restent non garantis dans la plupart des pays, voir en recul. Au « Nord » comme au « Sud », de nombreux mouvements sociaux et organisations de la société civile se mobilisent pour inscrire l’égalité entre les individus comme une conditionnalité du bien-être des sociétés et en faire un élément précurseur des transformations sociales.

Replay

Intervenant(e)s

  • Cécile Thimbiano-Yougare

    Cécile Thimbiano-Yougare

    Référente technique et plaidoyer, droits et santé sexuels et reproductifs en Afrique chez Médecins du monde

  • Sébastien Tüller

    Sébastien Tüller

    Responsable LGBTI+ pour Amnesty International France

  • Zohra Aziadé Zemirli

    Zohra Aziadé Zemirli

    Juriste, chercheuse en droit des pays arabes

  • Marie-Cécile Naves

    Modération

    Marie-Cécile Naves

    Directrice de recherche à l’IRIS, directrice de l’Observatoire Genre et géopolitique