Visioconférence, organisée dans le cadre du programme Afrique/s.

Si la réduction des effectifs de l’opération Barkhane n’est pas encore engagée – le processus étant complexe et à séquencer dans la durée – la question d’un départ et/ou d’une invisibilisation progressive de la présence française au Sahel se pose. En vue de résoudre la crise sécuritaire, le volet militaire, longtemps privilégié, a été enrichi par un volet développement. Les solutions ont également été tout à la fois « sahélisées » et internationalisées.

Dans un contexte d’inflation des acteurs, quel peut être le juste équilibre, de sorte à éviter la dispersion des efforts et l’écueil de solutions importées ? Quels sont les défis à relever sur les court, moyen et long termes eu égard à la diversité des pays sahéliens ? Quelles perspectives d’avenir ?

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Intervenant(e)s

  • Bruno Clément-Bollée

    Bruno Clément-Bollée

    Général de corps d’armée en 2ème section, consultant international sur l’Afrique, ancien directeur de la coopération de sécurité et de défense au Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères

  • Mamadou Ismaïla Konaté

    Mamadou Ismaïla Konaté

    Avocat aux barreaux du Mali et de Paris, ancien ministre de la Justice du Mali

  • Nadine Machikou Ndzesop

    Nadine Machikou Ndzesop

    Agrégée de science politique, professeure des Universités, directrice de séminaire à l’Ecole supérieure internationale de guerre de Yaoundé

  • Aly Tounkara

    Aly Tounkara

    Docteur en sociologie, directeur du Centre d’études sécuritaires et stratégiques au Sahel

  • Caroline Roussy

    Modération

    Caroline Roussy

    Directrice de recherche à l’IRIS, responsable du Programme Afrique/s