Vers une géopolitique de l’énergie plus complexe ? /Emmanuel Hache

15 min. de lecture

  • Emmanuel Hache

    Emmanuel Hache

    Directeur de recherche à l’IRIS

  • Samuel Carcanague

    Samuel Carcanague

    Spécialiste de l’espace post-soviétique et les questions énergétiques

  • Clément Bonnet

    Clément Bonnet

    Psychiatre des hôpitaux honoraires, président de l’Association de Santé mentale du 20e arrondissement de Paris

  • Gondia Sokhna Seck

    Gondia Sokhna Seck

    Économiste à IFP Énergies nouvelles.

  • Marine Simoën

    Marine Simoën

    Chercheuse associée à l’IRIS

Pourquoi la géopolitique doit-elle s’emparer des questions liées à la transition énergétique ? Dans de nombreuses régions du monde, la décarbonation des mix énergétiques et électriques est devenue une priorité pour permettre de répondre aux objectifs climatiques internationaux et aux problématiques de pollutions locales. Les investissements déjà réalisés dans les énergies renouvelables (ENR), environ 332 milliards de dollars en 2018 [2], et ceux qui seront nécessaires à la réalisation des objectifs définis à Paris en 2015, lors de la 21e conférence des parties (COP21) à la Convention-cadre des Nations unies sur les changements climatiques (CCNUCC), sont à même de redéfinir la notion de sécurité énergétique.Le terme de géopolitique des énergies renouvelables est à l’heure actuelle peu usité, et les implications géopolitiques des nouvelles politiques énergétiques et des investissements dans les ENR peu explorées. Si certains auteurs [3] o

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